À partir de 2025, les micro-entrepreneurs en France devront faire face à une nouvelle contrainte fiscale : le seuil de franchise de TVA est abaissé à 25 000 € de chiffre d’affaires. Concrètement, cela signifie que dès qu’un auto-entrepreneur dépasse ce montant, il devra appliquer la TVA sur ses prestations ou ventes, augmentant ainsi ses prix ou réduisant ses marges, ou même les deux.
Décidément, les mauvaises affluent en France !
Les micro-entrepreneurs sont les plus facilement visés car ils constituent une force vive qui rêve d’être riche et se bat pour ne pas être pauvre.
Je vous invite à regarder cet extrait du Diable rouge – Extrait dialogue fictif entre Colbert et Mazarin (la gestion des finances de l’État). Cet extrait est tellement français et actuel. C’est édifiant.
C’est pour cette raison que beaucoup de micro-entrepreneurs créent leur société en irlande, quand cela est possible. Et autant pour eux que pour nous, nous apprécions d’autant plus la stabilité de l’écosystème en Irlande. Mais Micro-entrepreneurs, nous avons une solutions pour vous!
En résumé :
En France, les nouvelles règles fiscales compliquent significativement la rentabilité des micro-entrepreneurs et des e-commerçants.
✅ L’Irlande offre une solution fiscale plus avantageuse avec une imposition réduite à 12,5 % et une exonération de TVA pour les clients étrangers.
✅ Gains nets jusqu’à 50 % supérieurs en créant une société en Irlande.
✅ Simplicité administrative et rapidité : société créée en 8 jours et gestion allégée des charges sociales.
La baisse du seuil de TVA en France, un coup dur pour les micro-entrepreneurs ?
Ce changement représente un véritable défi pour les petites entreprises et les indépendants, qui risquent une perte de compétitivité face à des concurrents exonérés de TVA ou structurés différemment.
Pour de nombreux entrepreneurs, cette nouvelle règle impose un arbitrage difficile entre limiter volontairement leur chiffre d’affaires pour rester en dessous du seuil ou absorber la TVA au détriment de leur rentabilité. Un véritable dilemme et encore une mauvaise nouvelle.
Face à cette contrainte fiscale, une alternative stratégique émerge : créer une société en Irlande. Avec un environnement fiscal plus souple, un impôt sur les sociétés attractif et une gestion simplifiée, l’Irlande offre une opportunité unique pour les entrepreneurs français souhaitant préserver leur rentabilité et développer leur activité sans être freinés par les nouvelles limites imposées en France.
Je vous propose d’explorer les avantages de cette solution et comment elle peut être mise en place efficacement car nous pensons que les mauvaises nouvelles ne vont pas s’arrêter là.
1. Comprendre les limites du régime micro-entrepreneur en France
1.1 Les nouvelles contraintes fiscales : TVA, cotisations et plafond de chiffre d’affaires
Le passage du seuil de TVA à 25 000 € : quelles conséquences ?
À compter de 2025, la réforme du seuil de TVA impose aux micro-entrepreneurs dépassant 25 000 € de chiffre d’affaires annuel d’appliquer la TVA sur leurs prestations ou ventes. Jusqu’à présent fixé à 36 800 € pour les prestations de services et 91 900 € pour les activités de commerce, ce seuil réduit drastiquement la marge de manœuvre des entrepreneurs qui bénéficiaient jusqu’ici d’un régime fiscal simplifié et d’une exonération de TVA.
Les conséquences sont bien évidemment immédiates :
- Augmentation des prix : facturer la TVA signifie appliquer 20 % de taxe supplémentaire pour les clients (taux standard en France).
- Perte de compétitivité : un freelance ou un commerçant soumis à la TVA devient moins attractif face à un concurrent en franchise de TVA.
- Diminution des marges : absorber la TVA pour éviter de répercuter la hausse sur les clients réduit le bénéfice net de l’entrepreneur.
Cas concret : un freelance réalisant 30 000 € de chiffre d’affaires en 2024
Prenons l’exemple d’un graphiste freelance qui génère 30 000 € de chiffre d’affaires en 2024 et qui bénéficie de la franchise de TVA. Actuellement, ses revenus nets après cotisations sociales et impôts sont calculés ainsi :
Chiffre d’affaires total : 30 000 €
Cotisations sociales (22 %) : – 6 600 €
Impôt sur le revenu (forfait micro-entreprise, 5 %) : – 1 500 €
Revenu net : 21 900 €
En 2025, ce même freelance dépassera le seuil de 25 000 € et devra appliquer 20 % de TVA sur ses prestations. Voici ses deux options :
✅ Option 1 : Il augmente ses tarifs pour inclure la TVA
- Son tarif horaire passe de 50 € à 60 € (50 € HT + 20 % de TVA).
- Il facture 30 000 € HT = 36 000 € TTC à ses clients.
- Ses clients devront payer 20 % de plus et risquent de se tourner vers un concurrent non soumis à la TVA.
✅ Option 2 : Il absorbe la TVA pour ne pas augmenter ses prix
- Il garde son tarif à 50 € de l’heure TTC, mais il ne touche plus que 41,67 € HT après TVA.
- Son chiffre d’affaires hors taxes diminue mécaniquement à 25 000 € HT.
- Ses revenus nets chutent après paiement des charges et cotisations.
Comparaison avant/après : Combien lui reste-t-il réellement ?
Année | CA Total | Cotisations (22%) | Impôt (5%) | TVA (20%) | Revenu Net |
---|---|---|---|---|---|
2024 (Exonéré de TVA) | 30 000 € | 6 600 € | 1 500 € | 0 € | 21 900 € |
2025 (avec TVA – Option 1, hausse des prix) | 36 000 € (30 000 € HT) | 6 600 € | 1 500 € | 6 000 € | 21 900 € |
2025 (avec TVA – Option 2, sans hausse des prix) | 30 000 € TTC (25 000 € HT) | 5 500 € | 1 250 € | 5 000 € | 18 250 € |
Résultat : Si le freelance choisit d’absorber la TVA sans augmenter ses prix, son revenu net chute de 3 650 €.
Problème : S’il veut maintenir son pouvoir d’achat, il doit travailler 20 % de plus, soit 6 heures de plus par semaine, ou augmenter ses tarifs avec le risque de perdre des clients.
Donc quel que soit l’option, le micro-entrepreneur est pénalisé. Le pire est que nous ne voyons pas d’amélioration à l’horizon.
Rappelez-vous de la vignette auto dans les années 70 ou de la CSG/RDS. Cela devait être provisoire et cela a duré longtemps pour le premier et cela dure encore pour la CSG/RDS. Elle a d’ailleurs été intégrée dans la déclaration d’impôt sur le revenu, ce qui en fait une taxe scellée pour longtemps.
Pourquoi cette réforme est un frein pour les auto-entrepreneurs ?
- Seuil trop bas : 25 000 € est un chiffre d’affaires très limité pour vivre confortablement après charges.
- Complication administrative : gestion de la TVA, déclarations supplémentaires, risques de redressements.
- Concurrence accrue : en France, un freelance ou artisan sous TVA est moins attractif qu’un concurrent exonéré.
- Risques de stagnation : beaucoup d’auto-entrepreneurs risquent de volontairement freiner leur activité pour ne pas dépasser ce seuil.
Quelles solutions pour éviter ces nouvelles contraintes ?
Créer une société en Irlande !
Une fiscalité plus souple, pas de TVA en dessous de 75 000 € de CA, une meilleure rentabilité et une gestion simplifiée.
Dans la suite de cet article, nous verrons comment l’Irlande offre une alternative intéressante pour les entrepreneurs souhaitant contourner ces nouvelles restrictions et continuer à développer leur activité sereinement.
1.2 Perte d’attractivité du statut de micro-entrepreneur
Un seuil trop bas qui pénalise la compétitivité
Avec un seuil de TVA désormais fixé à 25 000 €, le statut de micro-entrepreneur perd une grande partie de son attractivité. Ce plafond oblige de nombreux indépendants et petites entreprises à modifier leur tarification ou accepter une baisse de leurs revenus nets.
Pourquoi est-ce un désavantage concurrentiel ?
- Un entrepreneur assujetti à la TVA doit facturer 20 % de plus à ses clients, qui peuvent préférer des prestataires encore exonérés.
- Les particuliers, qui ne récupèrent pas la TVA, seront plus enclins à choisir un concurrent non soumis à la TVA.
- Les entreprises clientes peuvent chercher à travailler avec des prestataires étrangers situés dans des pays avec une fiscalité plus avantageuse.
Prenons l’exemple d’un rédacteur web indépendant qui facture 1 000 € par mois à un client français. En 2024, ce client payait exactement 1 000 €, mais en 2025, avec l’application de la TVA, la facture grimpe à 1 200 €.
Résultat : Le client peut refuser cette hausse et chercher un autre rédacteur non assujetti à la TVA, ou demander à l’entrepreneur de baisser son tarif… ce qui impacte directement son revenu.
Une complexité administrative accrue
L’un des principaux avantages du statut de micro-entrepreneur était sa simplicité : peu de charges sociales, pas de TVA à gérer, et une comptabilité allégée. Avec la réforme, la gestion de la TVA devient une contrainte supplémentaire :
Obligations comptables plus lourdes :
✔️ Facturation avec TVA (obligation d’indiquer le montant de TVA sur chaque facture).
✔️ Déclarations de TVA périodiques (mensuelles ou trimestrielles).
✔️ Obligation de tenir une comptabilité plus stricte pour éviter toute erreur de déclaration.
✔️ Risque de contrôle fiscal en cas d’oubli ou de mauvaise déclaration.
Pour un entrepreneur qui veut se concentrer sur son activité principale, ces contraintes représentent une perte de temps et une charge mentale supplémentaire.
Un risque de plafonnement volontaire du chiffre d’affaires
De nombreux micro-entrepreneurs, face à ce seuil de TVA trop bas, envisagent de limiter leur activité volontairement pour ne pas dépasser 25 000 € de chiffre d’affaires.
Conséquences du plafonnement volontaire :
❌ Frein à la croissance : Un entrepreneur qui pourrait générer 35 000 € ou 40 000 € de chiffre d’affaires préfère stagner à 24 999 € pour ne pas payer la TVA.
❌ Désincitation à travailler plus : Certains prestataires choisiront de refuser des missions ou de prendre des congés prolongés pour éviter de franchir le seuil.
❌ Manque de rentabilité à long terme : Ce plafonnement empêche l’entrepreneur d’investir dans son activité et de se développer sereinement.
En clair, cette réforme ne pousse pas les entrepreneurs à se développer, mais au contraire à rester bloqués sous un plafond artificiel.
Quelle alternative pour les micro-entrepreneurs ?
Face à ces nouvelles contraintes fiscales et administratives, l’Irlande se présente comme une alternative crédible et avantageuse pour les indépendants français souhaitant optimiser leur activité.
✅ Un seuil de TVA à 75 000 € au lieu de 25 000 €.
✅ Une fiscalité plus souple avec un impôt sur les sociétés de 12,5 %.
✅ Un environnement propice aux entreprises avec moins de contraintes administratives.
Dans la prochaine section, nous verrons comment créer une société en Irlande et pourquoi cela peut être une solution idéale pour contourner ces nouvelles restrictions fiscales.
2. L’Irlande : une alternative stratégique pour optimiser sa fiscalité
2.1 Pourquoi créer une société en Irlande ?
Face aux nouvelles contraintes fiscales qui pèsent sur les micro-entrepreneurs en France, créer une société en Irlande représente une alternative stratégique et avantageuse. Avec une fiscalité bien plus souple et un environnement entrepreneurial dynamique, l’Irlande attire chaque année de nombreux entrepreneurs souhaitant optimiser leur activité.
Un impôt sur les sociétés réduit à 12,5 %
L’un des principaux atouts de l’Irlande est son taux d’impôt sur les sociétés particulièrement attractif : seulement 12,5 %, contre 25 % en France.
Comparaison d’imposition entre une entreprise en France et en Irlande :
Pays | Chiffre d’affaires annuel | Bénéfice net | Impôt sur les sociétés | Bénéfice après impôt |
---|---|---|---|---|
France | 50 000 € | 30 000 € | 7 500 € (25 %) | 22 500 € |
Irlande | 50 000 € | 30 000 € | 3 750 € (12,5 %) | 26 250 € |
En Irlande, un entrepreneur conserve jusqu’à 3 750 € de plus chaque année sur un bénéfice de 30 000 € !
Cette différence significative permet aux entrepreneurs de réinvestir davantage dans leur activité ou d’augmenter leur rémunération nette.
Lire aussi : 12.5% d’impôt sur les sociétés en Irlande ? Oui, mais pas seulement…
Pas de TVA pour les entreprises facturant hors d’Irlande
L’Irlande applique une exonération de TVA pour les entreprises qui facturent des services en dehors du pays. Cela concerne particulièrement les prestations en ligne et les services digitaux (consulting, marketing, design, développement web, rédaction, etc.).
✅ Si votre activité cible une clientèle internationale (Europe, USA, Canada, etc.), vous pouvez facturer sans TVA !
✅ En France, dès 25 000 € de chiffre d’affaires, vous devez ajouter 20 % de TVA sur vos prestations. En Irlande, ce seuil est de 75 000 €.
Exemple concret :
Un consultant freelance français facture 2 000 € par mois à des clients étrangers.
- En France : Dès 25 000 € de CA, il doit ajouter 20 % de TVA, ce qui peut dissuader ses clients.
- En Irlande : Il continue à facturer sans TVA s’il travaille avec des clients étrangers.
Donc en conclusion, en Irlande, vous restez plus compétitif en évitant l’effet dissuasif de la TVA sur vos tarifs.
Un environnement davantage business-friendly en Irlande
L’Irlande est reconnue comme l’un des meilleurs pays au monde pour entreprendre grâce à sa législation souple et son cadre fiscal incitatif. Il faut aussi compter avec une stabilité au niveau des règles qui marque une très grande différence avec la France qui voit ses règles changer et se complexifier régulièrement.
Les avantages concrets :
✔ Création ultra-rapide : votre société est immatriculée en 48 heures contre plusieurs semaines en France.
✔ Aucune cotisations sociales pour les non-résidents irlandais : en tant que dirigeant d’une société en Irlande, vous avez donc la possibilité de vous rémunérer sans cotisation sociales ni impôt sur le revenu en Irlande – Voir l’article sur comment se rémunérer avec sa société en Irlande.
✔ Une administration simplifiée : moins de paperasse et de contrôles administratifs qu’en France.
✔ Un pays tourné vers l’innovation et le digital : idéal pour les freelances, startups et prestataires de services en ligne.
Pourquoi les entrepreneurs choisissent l’Irlande ?
Moins de fiscalité : impôt sur les sociétés à 12,5%, exonération de TVA sur certaines activités.
Plus de flexibilité : liberté dans la gestion et la rémunération des dirigeants.
Un écosystème dynamique : réseau d’entreprises et d’investisseurs, facilité pour travailler à l’international.
Créer une société en Irlande, c’est s’affranchir des contraintes fiscales françaises et donner un véritable coup d’accélérateur à son activité.
Dans la prochaine section, nous verrons comment concrètement créer une société en Irlande et quelles sont les démarches à suivre.
2.2 Exemples concrets d’optimisation fiscale en créant une société en Irlande
Pour mieux comprendre l’impact fiscal et financier d’une société en Irlande par rapport au statut d’auto-entrepreneur en France, voici deux cas concrets d’optimisation fiscale qui illustrent les avantages d’une implantation en Irlande.
Cas 1 : Un consultant en marketing digital
Situation en France (Auto-entrepreneur)
- Chiffre d’affaires annuel : 50 000 €
- Charges professionnelles (30 % du CA) : 15 000 €
- Seuil de TVA dépassé → application de 20 % de TVA sur les prestations
- Imposition (Cotisations sociales et impôt sur le revenu, environ 25 % du bénéfice)
Résultat final en France :
Montant | Détail |
---|---|
CA Total | 50 000 € |
Charges | – 15 000 € |
TVA collectée sur les prestations | – 8 333 € |
Bénéfice imposable | 26 667 € |
Cotisations et IR (25 %) | – 6 667 € |
Bénéfice net final | 20 000 € |
Situation en Irlande (Société en LTD)
- Chiffre d’affaires annuel : 50 000 €
- Même charges professionnelles (30 % du CA) : 15 000 €
- Pas de TVA appliquée si les clients sont étrangers
- Imposition sur les bénéfices réduite à 12,5 %
Résultat final en Irlande :
Montant | Détail |
---|---|
CA Total | 50 000 € |
Charges | – 15 000 € |
Bénéfice imposable | 35 000 € |
Impôt sur les sociétés (12,5 %) | – 4 375 € |
Bénéfice net final | 30 625 € |
➡️ Différence : + 10 625 € de gain en créant une société en Irlande, soit une augmentation de 53 % du revenu net !
Cas 2 : Un e-commerçant vendant à l’international
Situation en France (Auto-entrepreneur ou SASU)
- Vente de produits digitaux ou physiques en Europe et à l’international
- TVA obligatoire à partir de 25 000 € de CA → impact sur les prix et la compétitivité
- Charges professionnelles classiques : frais logistiques, publicités, stockage…
- Taxe sur les bénéfices à 25 % en SASU (si bénéfice réinvesti en entreprise)
Problèmes en France :
- Prix de vente augmenté de 20 % avec la TVA, ce qui peut freiner les ventes.
- Seuil de TVA très bas obligeant à facturer la TVA rapidement.
- Impact fiscal élevé avec l’impôt sur les sociétés et cotisations sociales.
Situation en Irlande (Société LTD)
- Pas de TVA appliquée si les ventes sont à l’international (hors Irlande).
- Optimisation des bénéfices grâce à l’impôt réduit à 12,5 %.
- Gestion plus souple des dividendes et rémunérations.
Simulation en Irlande :
Montant | Détail |
---|---|
CA Total | 100 000 € |
Charges (50 % du CA) | – 50 000 € |
Bénéfice imposable | 50 000 € |
Impôt sur les sociétés (12,5 %) | – 6 250 € |
Bénéfice net final | 43 750 € |
➡️ Gain net en Irlande : + 10 000 € ou plus par rapport à une entreprise basée en France.
4. Comparaison chiffrée : Micro-entreprise vs Société en Irlande
Critères | Micro-entreprise en France | Société en Irlande (LTD) |
---|---|---|
Seuil TVA | 25 000 € | Pas de seuil (HT possible) |
Impôt sur les sociétés | N/A (IR) | 12,5 % sur le bénéfice et non sur le C.A. |
Charges sociales | Entre 25 et 27 % du C.A. | Pas de cotisations sociales |
TVA | 20 % dès 25 000 € | Exonération sous conditions |
Complexité administrative | Faible (sauf TVA) | Modérée, mais stable |
Rémunération optimisée | Non | Oui (dividendes, salaire, etc.) |
Conclusion
- La micro-entreprise devient de moins en moins attractive avec la baisse du seuil de TVA.
- L’Irlande offre une alternative légale et avantageuse pour les entrepreneurs qui veulent optimiser leur fiscalité.
- Étudier les implications et s’entourer des bons experts permet de sécuriser cette transition.
Conclusion : Pourquoi choisir l’Irlande pour optimiser sa fiscalité ?
Avec l’abaissement du seuil de TVA à 25 000 €, la micro-entreprise perd de son attractivité et devient un véritable frein à la croissance pour de nombreux indépendants. Entre hausse des charges, complexité administrative et perte de compétitivité, il devient indispensable de repenser son statut juridique et fiscal pour préserver sa rentabilité.
Créer une société en Irlande s’impose comme une alternative légale, simple et fiscalement avantageuse. Avec un impôt sur les sociétés à 12,5 %, une exonération de TVA sur les clients étrangers et une gestion administrative allégée, l’Irlande permet aux entrepreneurs de développer leur activité sans subir les contraintes du système français.
Cependant, une transition réussie nécessite une bonne préparation et un accompagnement par des experts pour s’assurer de la conformité et de la rentabilité du projet. Analyser les implications fiscales, choisir la bonne structure juridique et anticiper la gestion de son entreprise sont des étapes clés pour tirer le meilleur parti de cette opportunité.
Alors, pourquoi subir les nouvelles restrictions fiscales quand il est possible de développer son entreprise dans un environnement plus favorable ? Prenez les devants dès aujourd’hui et explorez les opportunités qu’offre l’Irlande pour booster votre activité et maximiser vos revenus !
Entrepreneurs français, opter pour l’Irlande, c’est préserver sa compétitivité et maximiser ses revenus !